T’ais-je déçu ? Mes écrits m’ont-ils fait irrémédiablement ombrage ? Mon corps t’a-t-il dégouté par manque de concordances avec les images que je t’ai fait tendrement invoquer ?
Je reviens lentement chez moi l’esprit en déroute. J’ai l’impression de t’avoir affligé d’un mal de tête qui trahi malheureusement la douleur que ma personne soulève dans ton esprit Les détours me fatiguent et me replongent dans une mélancolie à peine soutenable.
Les prochains jours seront critiques. Les prochaines heures seront tristes. Il me reste pourtant la force d’écrire la suite de notre histoire le cœur gonflé d’amour.
Je m’endors, emmitouflé dans une écharpe bleue, la main doucement posé sur ton dernier message. Tu as apprécié notre rencontre. Le récit se poursuivra… Ce n’était qu’un détour…
Les prochains jours seront critiques. Les prochaines heures seront tristes. Il me reste pourtant la force d’écrire la suite de notre histoire le cœur gonflé d’amour.
Je m’endors, emmitouflé dans une écharpe bleue, la main doucement posé sur ton dernier message. Tu as apprécié notre rencontre. Le récit se poursuivra… Ce n’était qu’un détour…
On sent ta tristesse, ton affliction par le choix des mots lourds ("gouffre creusé en moi"). J'ai le goût de te prendre dans mes bras pour te consoler.
RépondreSupprimerTu en viens à douter de ton art et, pire, de ton propre corps...
Lorsque tu souffres, tout souffre.
Quelle force a cet amour qui te permet de poursuivre l'écriture malgré ta désolation.
Tu gardes l'espoir malgré ta mélancolie.
Je t'admire !